Genèse : Forum libre de discussions
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Genèse : Forum libre de discussions

Un forum de discussion libre sur divers sujets et ouvert à tous, axé sur le savoir.
 
AccueilPortailRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le deal à ne pas rater :
ETB Pokémon Fable Nébuleuse : où acheter le coffret dresseur ...
Voir le deal

 

 Législatives.

Aller en bas 
3 participants
AuteurMessage
Prométhée
Fidéle
Fidéle



Nombre de messages : 426
Date d'inscription : 08/03/2007

Législatives. Empty
MessageSujet: Législatives.   Législatives. Icon_minitimeJeu 7 Juin - 13:18

Evil or Very Mad
Beaucoup de siège pour l'UMP
Beaucoup moins pour le PS
Et quoi pour les autres?

Le système triangulaire va à l'encontre de la démocratie, pourquoi pas un sytème proportionnel? Pourquoi n'ai-je pas le droit de me voir représenter (c'est le but de l'assemblée, représenter) à travers le Lcr (j'ai voté pour eux au premier tour) à travers le modem, à travers même le front national. Les 7 millions de votant pour Bayroux seront représentés par 3 sièges!!!
Quoi?!! Shocked
Sérieusement, j'enrage. Je veux pas du Ps. Je veux pas d'UMP. Qui me représente alors? Evil or Very Mad
Et les 2 millions de Besancenot? Aucun siège!
C'est déplorable, minable. Je sais pas quoi dire.
ça ne vous choque pas, vous?
Revenir en haut Aller en bas
Prométhée
Fidéle
Fidéle



Nombre de messages : 426
Date d'inscription : 08/03/2007

Législatives. Empty
MessageSujet: Re: Législatives.   Législatives. Icon_minitimeJeu 7 Juin - 13:30

Je peux même pas voter Modem. Sad
Je suis dans la 7ième circonscription, et Vercamer, un sâle con, a changé au dernier moment de parti (c'était un des quatres derniers fidèles à Bayrou), et donc, pas de candidat Modem, Il est UMP. Evil or Very Mad

J'en ai marre!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Quel bande de sâle con sans éthique, tout ça pour avoir sa petite pension de conard. Je les hais.
Je vais le tuer. Twisted Evil

Tiens, je pourrais ouvrir un topic sur l'Ethique en politique...
Revenir en haut Aller en bas
saintpierremeister
Fidéle
Fidéle
saintpierremeister


Nombre de messages : 543
Age : 83
Localisation : Bourgogne.
Date d'inscription : 13/03/2007

Législatives. Empty
MessageSujet: Re: Législatives.   Législatives. Icon_minitimeJeu 7 Juin - 13:59

Citation :
Source libé : Établi par Pasqua en 1986, le découpage en 577 circonscriptions n'est plus jugé équitable par le Conseil constitutionnel.

Le Conseil constitutionnel s'en est ému à plusieurs reprises : le découpage de la France métropolitaine en 577 circonscriptions est beaucoup trop ancien pour être honnête.

Dans un pays censé assurer l'égalité républicaine entre tous ses citoyens, la voix d'un électeur de Lozère vaut trois fois celle d'un Grenoblois, la voix d'un Corse pèse deux fois plus que celle d'un Alsacien
L'explication en est simple : il y a un député pour 34 400 habitants dans la 2e circonscription de Lozère, et un pour 125 243 habitants dans la 1er circonscription de l'Isère (recensement Insee de 1999).
Les exemples de cet ordre se chiffrent par dizaines ­ sans compter les disparités au sein d'un même département

Réalisé il y a plus de vingt ans par les bons soins du ministre de l'Intérieur de l'époque, Charles Pasqua, à partir des données du recensement général de 1982, le découpage des circonscriptions n'assure plus l'égalité entre les citoyens garantie par la Déclaration des droits de l'homme de 1 789 (article 6) et la Constitution de la Ve République (articles 3 et 24).

Déjà, le 7 juillet 2005, dans une série d'observations sur les échéances électorales de 2007», les neuf sages de la rue Montpensier soulignaient que les déséquilibres démographiques entre les circonscriptions rendaient ce remodelage «nécessaire» : «Il incombe au législateur de modifier ce découpage.
Si cela n'est pas fait avant les prochaines élections législatives de 2007, , ce qui serait regrettable, cela devra être entrepris au lendemain de celles-ci», écrivaient-ils, en insistant sur le fait que «ces disparités ne peuvent que s'accroître avec le temps».

Plus récemment, dans une décision du 3 mai 2007, ils administraient une piqûre de rappel : «Il ne fait pas de doute que la carte des circonscriptions législatives est aujourd'hui inconstitutionnelle.»
Il y a certes toujours eu des différences démographiques d'une circonscription à l'autre généralement de plus ou moins 10 %, au nom de l'aménagement du territoire. Mais les mouvements de population (désertification d'un côté, densification de l'autre) du dernier quart de siècle ont amplifié les inégalités électorales. La loi du 11 juillet 1986 (article 2), qui précise qu'il est procédé à la révision des limites des circonscriptions, en fonction de l'évolution démographique, après le deuxième recensement général de la population suivant la dernière délimitation» (soit après le recensement de 1999) est restée lettre morte.

Aucun des gouvernements qui se sont succédé depuis cette échéance (Jospin, Raffarin, Villepin) n'a suggéré un découpage plus équitable.

Une proposition de redécoupage, formulée en 2005 par un conseiller d'Etat, deux constitutionnalistes, un statisticien et un haut-fonctionnaire, a été recalée par le Premier ministre de l'époque, Dominique de Villepin, et son ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy.

Certes, toute opération de «remodelage» est exposée à des accusations de «charcutage électoral» ­ où Charles Pasqua s'était d'ailleurs révélé un orfèvre.
Mais surtout les élus du monde rural sont très sourcilleux de ne rien abdiquer de leur représentativité. Du coup, les parlementaires n'ont pas osé toucher à l'équilibre des circonscriptions, aggravant, au fil des ans, le déficit démocratique.

Susceptibilités rurales. Quel que soit le résultat des prochaines législatives, le gouvernement devra ouvrir rapidement ce chantier-là. Il peut le faire a minima : maintien d'au moins deux députés par département (pour ne pas froisser les susceptibilités rurales), nombre total de députés inchangé (pour ne pas prêter le flanc à l'antiparlementarisme), mais correction des inégalités les plus criantes.

Dans ce cas, le redécoupage pourrait impliquer une trentaine de départements, regroupant une petite moitié des 577 circonscriptions. L'exécutif peut aussi être plus ambitieux et en profiter pour introduire, par exemple, la dose de proportionnelle que la majorité des partis réclament. Nicolas Sarkozy devra dire jusqu'où il veut porter, de ce côté-là, la rupture.

Ni la gauche ni la droite n'ont jamais levé le petit doigt pour modifier cet état de fait lamentable et il est facile de deviner pourquoi, les députés qui tiennent à leur place ne veulent pas d'un système qui les exposerait à ne pas être réélus.

saintpierremeister
Revenir en haut Aller en bas
http://jeanmarie.robert.free.fr
Prométhée
Fidéle
Fidéle



Nombre de messages : 426
Date d'inscription : 08/03/2007

Législatives. Empty
MessageSujet: Re: Législatives.   Législatives. Icon_minitimeVen 8 Juin - 10:07

Personne d'autre veut pousser un joli coup de gueule?
Je vous jure, ça fait du bien de se lâcher.

'Ni la gauche ni la droite n'ont jamais levé le petit doigt pour modifier cet état de fait lamentable et il est facile de deviner pourquoi, les députés qui tiennent à leur place ne veulent pas d'un système qui les exposerait à ne pas être réélus.'
C'est bien ça le pire.
Il ne resterait que la rue pour faire quelque chose, ou alors des bonnes volontés de quelques politiques, ce qui nécessite une Ethique, et ça, c'est mal barré...
Revenir en haut Aller en bas
Evereve
Actif
Actif
Evereve


Nombre de messages : 267
Age : 47
Localisation : Unis Vers l'Uni - "On se ballade dans l'atmosphère sur une sphère"
Date d'inscription : 16/04/2007

Législatives. Empty
MessageSujet: Re: Législatives.   Législatives. Icon_minitimeMar 12 Juin - 4:04

Je suis assez d'accord sur le principe ... la proportionnelle serait bien plus équitable ...

ce que j'ai trouvé le plus dommageable en fait, c'est que du coup, on ne puisse pas avoir le choix de voter pour tous les partis… pour le coup, je trouve que la démocratie en prend un coup à ce niveau là ...

par contre, ce qui me révolte vraiment ! c'est plutôt le taux d'abstention... c'est bien gentil de râler et de dire qu'on va faire la révolution et aller faire des manifs ... quand on est déjà pas capable d'aller jusqu'au bureau de vote ... bon, c'est sur il manque la camionette du marchand de merguez ... c'est peut être ça qui fait la différence ....

j'imagine que tous ces braves gens avaient une bonne raison pour ne pas prendre la peine de voter ... Evil or Very Mad
Revenir en haut Aller en bas
saintpierremeister
Fidéle
Fidéle
saintpierremeister


Nombre de messages : 543
Age : 83
Localisation : Bourgogne.
Date d'inscription : 13/03/2007

Législatives. Empty
MessageSujet: Re: Législatives.   Législatives. Icon_minitimeMar 12 Juin - 10:27

Evereve a écrit:
Je suis assez d'accord sur le principe ... la proportionnelle serait bien plus équitable ...

Équitable ?
Sans doute mais serait-ce vraiment une bonne idée ou plus simplement une fausse bonne idée ?

Tout d'abord, comment votent les grands pays démocratiques ?

Les députés britanniques sont élus depuis l’origine du parlementarisme anglais au scrutin uninominal majoritaire à un tour.

Sénateurs et représentants sont élus, aux États-Unis, selon ce même mode de scrutin.

Les députés au Bundestag sont, eux, élus au suffrage universel direct avec un mode de scrutin proportionnel de compensation.

Le pays est divisé en circonscriptions et chaque électeur détient deux voix.
Avec la première voix, il vote au scrutin majoritaire à un tour pour des candidats individuels.
Avec la seconde voix, il vote au scrutin proportionnel pour des listes présentées par des partis.
On compare le nombre théorique de sièges obtenu par un parti à partir du résultat de la proportionnelle (avec répartition des restes à la plus forte moyenne) au nombre réel de sièges obtenu par le scrutin majoritaire. Si celui-ci est inférieur, cas le plus fréquent, les sièges sont attribués aux partis pour porter le nombre d’élus au nombre théorique. Si les élus au scrutin majoritaire excèdent la proportion obtenue avec la seconde voix, cas rare, le parti conserve les élus excédentaires et le nombre de députés est augmenté d’autant. Pour avoir droit à cette répartition, il faut obtenir 5 % des voix au niveau national ou un nombre minimal de sièges. Ce seuil constitue donc un objectif essentiel pour les petits partis, dont il conditionne la représentation.

Ce mécanisme complexe combine les avantages des deux modes de scrutin- lien personnel avec les élus et représentativité assez large des tendances politiques.
Il a permis le maintien de deux grands partis autour desquels se constituent les gouvernements, sociaux-démocrates et chrétiens-démocrates, et l’existence de plus petites formations dont l’apport se révèle indispensable pour la constitution d’une majorité parlementaire : parti libéral, Verts, communistes, et selon les législatures, extrême-droite.

Le mode d’élection des parlementaires italiens a été révisé en 1994 afin de faciliter l’apparition de majorités parlementaires et d’obtenir une plus grande stabilité ministérielle.
Jusqu’alors, les députés étaient élus à la représentation proportionnelle, combinant une répartition des sièges au sein de grandes circonscriptions, puis une seconde répartition au niveau national.
Les trois quarts des parlementaires sont élus au scrutin uninominal majoritaire à un tour. Le quart restant des sièges est réparti à la proportionnelle, mais un lien demeure avec les précédents élus. Pour les législatives, chaque électeur dispose de deux voix. Pour les sénatoriales, il n’en a qu’une.
Chaque candidat s’affilie à un parti éligible à la proportionnelle. S’il est élu, ses voix sont décomptés de celles du parti, ce qui signifie qu’une formation ayant beaucoup d’élus au scrutin majoritaire en aura peu au scrutin proportionnel. On parle de système de compensation.
C’est d’une simplicité toute byzantine, mais c’est indispensable aux adeptes de la combinazione à l’italienne…

Depuis la constitution de 1958 instituant la V° république la France a un scrutin majoritaire à deux tours aux élections législatives, ce qui permet de dégager une majorité claire et stable pendant la durée de la législature.

Pour les plus jeunes il n’est sans doute pas inutile de rappeler pourquoi la IVème république est morte par suite de sa faillite politique :
La IVème République (1946 à 1958) a marqué la mémoire collective des Français par son instabilité ministérielle chronique son immobilisme et son impuissance avec 24 gouvernements entre 1947 à 1958, de durée très inégale ( 1 jour à 16 mois ).
Avec l'adoption du scrutin proportionnel, aucun parti ne disposait de la majorité à l'Assemblée.
Des coalitions fragiles se faisaient et se défaisaient au gré des circonstances.
Des gouvernements démissionnaient au bout de quelques jours ou au bout de quelques semaines sans avoir été renversés par une motion de censure parce qu'ils n'arrivaient pas à faire voter par l'assemblée les lois qu'ils jugeaient indispensables.
Les tentatives de renouveau amorcées par Pierre Mendès France en 1954 ont échoué.
Le droit de dissolution, discrédité au début de la IIIème République, n'a été utilisé qu'une seule fois par Edgar Faure en 1955.
Le consensus fragile qui avait présidé à la naissance de la IVème République s'est effondré dès 1947 dans le contexte de la guerre froide, avec l'exclusion des ministres communistes.
Le rejet dans l'opposition, par la Troisième force, des communistes ( PCF premier parti de France en voix, fixant 1/4 de l'électorat durant toute la IVème République) et des gaullistes ( RPF premier parti de France en sièges en 1951 ), ne permettait pas la formation de majorités fortes et stables.

Grâce au mode de scrutin majoritaire à deux tours, la majorité peut aujourd’hui faire sa politique et les Français peuvent choisir en connaissance de cause à l’issue de la législature.
Le paradoxe est qu’en fait le scrutin majoritaire est une condition de l’alternance en France car la majorité a eu tous loisirs d’appliquer son programme et d’être virée si elle échoue ;

A contrario, on observe qu’en fait la proportionnelle empêche souvent l’alternance comme en Italie avant 1994.
Il est exact que le scrutin majoritaire favorise la bipolarisation et donc les grands partis mais comme les grands partis sont rarement extrémistes ce n’est pas forcément un drame.

Avec le scrutin proportionnel, les partis extrémistes prospèrent et peuvent, dès lors, écarter du pouvoir durablement des forces politiques modérées.
C’était clairement un des objectifs de Tonton Mitterrand en digne émule de Machiavel lorsqu’il prit la décision d’instaurer la proportionnelle en 1986 pour donner du pouvoir au FN et ainsi d’empêcher la droite traditionnelle de lui repiquer le pouvoir.

Dans ces conditions, les partis de gouvernement se retrouvent confrontés à un dilemme : soit accepter d’être exclus du pouvoir, soit accepter de négocier des alliances avec les extrêmes. Les élections régionales de 1998 ont montré que cette tentation était très difficile à juguler.

Le scrutin proportionnel incite, par ailleurs, au fractionnisme et à l’émergence de partis « monomaniaques » (Verts, traditionalistes, chevènementistes, altermondialistes etc.…) qui conditionnent leur soutien à un accord de gouvernement qui reprend leur principale revendication.

Exemple : alors que les Français sont majoritairement favorables au nucléaire car on leur a fait croire que c’était vachement la seule bonne solution, avec la représentation proportionnelle, le parti écologiste pourrait conditionner sa participation à un gouvernement de gauche à un arrêt du nucléaire et il aurait une bonne chance d’obtenir gain de cause puisqu’il aurait un « droit de vie ou de mort » sur la coalition.
La proportionnelle, c’est en fait le risque avéré de chantage permanent comme méthode de gouvernement.

Avec le scrutin majoritaire, les électeurs connaissent avant le scrutin le programme qui sera appliqué par le parti majoritaire ce qui n’est pas le cas en Belgique par exemple car la coalition au pouvoir peut être contrainte à appliquer un tout autre programme que celui proposé à l’électeur qui devient en fait totalement dépossédé des conséquences de son vote.

Avec la représentation proportionnelle, il faut attendre la fin des tractations de couloirs post électorales et un accord de gouvernement qui ne bénéficiera pas d’une véritable légitimité démocratique, ni quant aux participants, ni quant au programme.
Par exemple, les Allemands n’ont pas voté (scrutin mixte proportionnel/majoritaire) pour une grande coalition CDU/SPD qui s’est faite, de plus, sur le dos du FDP et des Verts.

Paradoxalement la proportionnelle, c’est l’absence de transparence démocratique.

Le scrutin majoritaire est particulièrement adapté à un pays de taille moyenne ou importante puisqu’il permet, à travers les circonscriptions de créer un lien étroit entre l’élu et ses représentants.

A contrario, le scrutin proportionnel est souvent mieux adapté pour un pays de petite taille où il apparaît moins important d’être issu d’une localité particulière. Comparer la France avec les Pays-Bas ou avec les pays du Nord n’est pas forcément pertinent.

Si de nombreux pays européens ont recours à la représentation proportionnelle, ce n’est pas le cas des deux puissances européennes représentées au Conseil de sécurité de l’ONU. Pour exister sur la scène mondiale, il faut une unité du pouvoir exécutif et une absence de division de la classe politique. En France, comme au Royaume-Uni, le fait majoritaire assure au Président de la République et au Prime Minister le soutien nécessaire pour sa politique étrangère et sa politique de défense.



Puisque la proportionnelle aboutit à des coalitions, encore faut-il que celles-ci soient possibles. Or, contrairement à l’Allemagne, aux Pays-Bas, aux États-Unis… il n’existe pas, en France, de consensus sur le modèle économique et social.

Du fait de son aile gauche le PS reste attaché à ses dogmes anti libéraux qui lui font prendre des positions radicales en matière de fiscalité, de droit du travail, de politique pénale etc.

Si l’on considère que la France a 44 millions d’électeurs et au moins autant de sujets de mécontentements, ça fait donc 88 millions de raisons pour obtenir un pays véritablement ingouvernable avec la proportionnelle.


En fait, dans notre société, les contre-pouvoirs sont moins dans l’opposition à l’Assemblée nationale que dans l’expression médiatique, la presse, les collectivités locales, le pouvoir judiciaire et la société civile, voire dans la rue.

saintpierremeister
Revenir en haut Aller en bas
http://jeanmarie.robert.free.fr
Contenu sponsorisé





Législatives. Empty
MessageSujet: Re: Législatives.   Législatives. Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Législatives.
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Genèse : Forum libre de discussions :: Débats d'Actualité :: Politique-
Sauter vers: