"Antérieur"

-------Antérieurs


Avec des profondes douleurs, des passés ce réveillent
En s’armant de douceurs, les profondeurs s’animent
En conscience, il est reliés à des avants

Dans des lâcher prises, l’inconnu ce dévoile
En s’équilibrant dans des réunions, les profondeurs s’ouvrent.
En conscience, il est attiré en son cœur

Plongeant en son centre, l’essence vibre et chante
En écoutant les raisons, les Antérieurs vivent aux présents
En conscience, il est uni par l’esprit

Vivant autant en dedans qu’aux dehors; l’esprit est nourrie
En recréant des harmonies, les antérieurs sont supérieurs
En conscience, il en redonne les chaleurs

Visitant le cœur de ses matières, d’autres esprits se relient
En allant plus avant, en arrière et aux-delà , les antérieurs paraissent
En conscience, il vit le dimensionnel en intemporel

S’alimentant avec constance, l’essence croisse et s’élève
En perceptions sondées, les en nous et tout autour ne font qu’UN
En conscience, il accepte ses transformations……

Sympathique, un peu 'obscur' dans le sens, sans doute cette volonté de se détacher de la cohérence rationnelle pour planer au-dessus des têtes.

'En conscience, il accepte ses transformations……'

Qui est 'il'?

Prométhée a écrit:

Sympathique, un peu 'obscur' dans le sens, sans doute cette volonté de se détacher de la cohérence rationnelle pour planer au-dessus des têtes.

"Sans doute " est trop catégorique, et ressemble fort à un préjugé... Mais que néni, ce ne sont que des définitions de sujets "peu" abordés.. Des thèmes étudiés aprés pratiques spontannées ..
Des partages d'idées apportées, qui résonnent ou poussent aux raisonnements...

Prométhée a écrit:

'En conscience, il accepte ses transformations……'
Qui est 'il'?

Le "MOI"..

Ne pas lâchez l'affaire.
Désolé de faire mon esprit rationnel, mais qui est le 'Moi', le toi ou celui de chacun et donc: Dans ce poème je dois voir ton 'Moi', ou le mien? Ou alors les deux, et dans ce cas nous avons affaire à une sorte de bagage collectif, une conscience collective.

Promis, après, je t'embêtes plus.

Prométhée a écrit:

Ne pas lâchez l'affaire.
Désolé de faire mon esprit rationnel, mais qui est le 'Moi', le toi ou celui de chacun et donc: Dans ce poème je dois voir ton 'Moi', ou le mien? Ou alors les deux, et dans ce cas nous avons affaire à une sorte de bagage collectif, une conscience collective.

Promis, après, je t'embêtes plus.

..Le MOI de chacun .. Celui qui dira : "je pense donc je suis "..Celui qui peut comprendre et avoir conscience de ce qu'il vit...

Est-ce suffisement clair ?... pour ton esprit rationnel

J'ai la désagréable impression que les vers s'enchainent trsè difficilement malgré l'utilisation de la récurence "En conscience"

Le vers sont peut-être un peu long ? Ou trop chargés de sens ?
Des rimes auraient peu-être aidées ?


Quoi qu'il en soit, jolie performance d'avoir assemblé ces mots là.

Ozimandias a écrit:

J'ai la désagréable impression que les vers s'enchainent trsè difficilement malgré l'utilisation de la récurence "En conscience"

Le vers sont peut-être un peu long ? Ou trop chargés de sens ?
Des rimes auraient peu-être aidées ?


Quoi qu'il en soit, jolie performance d'avoir assemblé ces mots là.

Merci pour tes conseils.. Il est vrai que les sens ont primés sur l'apparence..

Parfois la forme est préférée au sens, et on peut avoir quelque chose de très moche.

Prométhée a écrit:

Parfois la forme est préférée au sens, et on peut avoir quelque chose de très moche.

Oui ... .. Mais comme chacun sait, l'art est subjectif, et chacun y voit ce qu'il a envie d'y trouver

Petite Milie aux Yeux Bleus
Continue ton voyage
Qu’importe que les dieux
Prennent ombrage

Tant d’humains croient en ces entités
Qu’importe leurs histoires irréelles
Toi, tu seras toujours critiquée
Parce que tu es temporelle

Laisse glisser ta plume
Laisse aller ta pensée
Et si c’est la Chanson de Dune
En quoi être étonné ?

Merci pour ton elan ...

Jolie et paisible, bien que j'ai une lacune sur les paroles de Dune, et à ceci pourrais-tu m'éclairer ?.. stp

'Oui ... Smile .. Mais comme chacun sait, l'art est subjectif, et chacun y voit ce qu'il a envie d'y trouver'

Je rappelle en passant que ça n'a pas toujours été le cas. L'art interprété subjectivement est une conséquence de la 'modernité'.

Prométhée a écrit:

Je rappelle en passant que ça n'a pas toujours été le cas. L'art interprété subjectivement est une conséquence de la 'modernité'.

Pas vraiment d'accord sur ceci .... L'art n'a pas besoin d'époque pour apporter ce que l'ont a choisi d'y prendre... Je penses que l'art envoie une suggétion de ce que veux projeter l'artiste, mais seul celui qui contemple réceptionnera soit cette projection, soit y ressentira autre chose...

Dans ce cas, il faut déjà concevoir l'accéssibilité à l'art. Après tout, au MA, l'art était accessible à une certaine classe de la population et dépendait pas du sentiment subjectif mais de l'objet de l'oeuvre d'art: Dieu. Et à la renaissance est né des écoles académiques d'art qui se donnait pour but de faire des canons, des règles pour une oeuvre d'art parfaite. Aucune place à la subjectivité. Ce n'est qu'au siècle des lumières que tout change.

Alors remontons du temps des peintures "rupestre" et là même les animaux pouvaient les voirs ...

Ces créations exposaient des suggétions, sur leurs pré-occupations quotidienne, à savoir : MANGER
Ces peintures nous suggères aussi, les directions de leurs croyances...
Elles sont les rares témoignanges, qu'ils nous ont laissés.

Et nos interprétations à ces peintures, ne sont que pur théorie..
Car de cet époque là , nous ne pouvons savoir ni leurs langues, ni l'état psychique de leurs hauteurs et admirateurs